Ma vie entière est un bordel. Je pourrais partir, mais voilà, j'aime mon bordel.

WEISS Jane, Maureen.
*********************************
feat emmawatson.

prénom(s); à la base je m'appelle Maureen. Simplement, Jane, c'est bien plus jolie et facile à prononcer. nom; Weiss âge; dix-neuf ans date et lieu de naissance; 01 mars mille neuf cent quatre vingt et onze. statut compliqué ? ; emplois; étudiante en médecine. votre groupe wild people ;

Can you meet me halfway ?
*******************************

1/ COMMENT QUALIFIEREZ-VOUS LA RIVALITÉ QUI S'OPÈRE A DALLAS ? Je leurs dirait bien « allez vous faire foutre » mais mes bonnes manières de femme civilisé me demande de me taire. Alors je me soumets à cette volonté. Je fais partie d'un de ces camps, indirectement oui, parce que personnellement, chacun fais sa vie comme il le souhaite. Mais mon père est ce propriétaire d'un des plus grands ranch de la région. Et je tuerais volontiers celui qui a dit que la fortune était un bien précieux, que tout s'arrangerais quand on à de l'argent. Parce que moi, cette argent ne me procure aucun plaisirs, pas de remerciement, juste des compliments faussement fais par des paysans qui cherche à me soudoyer quelques billets. J'aurais bien aimé être neutre dans cette histoire, mais est-ce le prix à payer pour être une Weiss ? Forte heureusement, j'ai la chance de passer comme inaperçu de la population locale. Ce qui me vaut quand même une petit paix.

2/ DÉCRIVEZ-NOUS VOTRE AVENIR,COMMENT LE VERREZ-VOUS ? Mon avenir serait simple. Une vie sans trop de soucis – pour une fois – une vie paisible en somme. Mais c'est sans compter sur mon fabuleux trésor familiale qui restera mon plus grand fardeau. Des millions et des millions de dollars. Un ranch et des quantités de chevaux de race. Une perpétuelle attention sur ce qui devra être plus tard mon futur travaille. D'accord, j'aime les chevaux, ces paysages magnifiques et tout le reste, mais si juste j'avais envie d'être quelqu'un d'autre, monter ma propre existence professionnelle. Vivre de ce que j'aime le plus au monde, faire ce mon rêve, l'ambition que je porte en moi depuis petite, une réalité, si juste je pouvais devenir médecin ? Médecin, avec un mari, deux enfants, trois crédits, deux voitures, quatre dépendances dans le monde. Si juste j'avais la possibilité de faire mes choix, seriez-vous en train de me poser la question ? Oui, je suis l'a condamnée des parents fortunés. Et ensuite on vient me dire « ta de la chance d'avoir des parents riches. »

3/ QUEL SERA L'AVENIR DE DALLAS SELON VOUS ?Nous sommes les familles pionnières de cet état. Nous avons fais de ces terres, les nôtres. Alors je pense que ce conflit va durer encore et encore. Oui, nous sommes d'accord, ils ont peut-être de l'argent, peut-être plus que nous, ils ont de la technologie haute et de qualités, mais ils n'ont pas la valeur estimable de cette terre. Pas d'amour propre, aucun respect pour la nature, juste de quoi faire leurs hôtels et leurs usines. Et le vert dans tous ça ? Les chevaux ? Les coyotes ? La végétation ? Et ils viennent encore nous voir, faisant les pires coup bas possible et imaginable, rien que pour ne serais-ce qu'un mètre carré de parcelle. Le soucis dans tous ça, c'est que les « cowboys » ne sont pas généreux, et ne cèderait leurs terres à personne. C'est pas une bande ce nouveaux riches qui vont leurs enlevés, et même si je ne sais pas comment va se finir cette histoire, je sens qu'elle va être rude. Il n'y aura aucune paix, c'est sûr, et les conséquences seront désastreuse si leurs dignité leurs permets de tuer de pauvres bêtes sans défense ou de faire brûler l'une de leurs limousines. Je n'ai qu'une chose à dire, pitoyable.

pseudo; REDWINGS. call me Karima. hehe

âge 15 ans et demin ( important! ) personnage inventé ou scénario ?; scénario votre niveau en rp (/20); c'est vous qui me le direz comment as-tu connu DLAFS ?; Bazzart . comment le trouves-tu ?; le design.

si tous était comme ça. heureusement non x)

Ma vie entière est un bordel. Je pourrais partir, mais voilà, j'aime mon bordel. 2gtz37o

Ma vie est banale. Rien de palpitant. Je suis la petite étudiante rangée. Qui fait honneur à ses origines. Une vie presque qu'archaïque, dans une société vieillotte. J'aurais aimée être la fille qui a des soucis, qui a fait plein de conneries, au lieu de ça, je suis l'oubliée, l'handicapée, la mal-aimée. L'incomprise. Et j'attends qu'enfin, quelqu'un daigne à m'ouvrir les portes de ce qu'on appelle aventure. Des portes ailleurs que dans un de ses fichues bouquins regrettable. Mais j'ai dix-neuf ans et l'on me dira, vis ta vie, tu en as encore la possibilité, mais c'est trop facile, et je n'aime pas la facilité. Alors le temps passe sans que je fasse quelque chose, jusqu'au jour où :

Vous a t-on déjà dit que vous avez des lèvres lascives. me dit-il. Cet inconnu aux cheveux brun, à la voix mélancolique, une démarche nonchalante, s'avançant devant moi comme s'avance un vieille homme rongé par le temps. Il n'avait que vingt trois à tout cassé. Pas encore, semblerait qu'une envie vous taquine ? Et le mystère s'installa devant nous, une opportunité hors du commun que je n'avais cette fois-ci pas loupée. Alors que je m'asseyais confortablement au fond de l'unique fauteuil de la pièce, il se mit au piano, posant ses doigts sur les délicate touche blanche. Serais-ce inapproprié ? Cette discussions ne tournait donc que sur des phrases interrogative ? Mais c'était sans compter sur ma réponse, qui ne se fit pas attendre. Qu'en pensez-vous ? A ce croire dans un film de psychopathe. Non pas que cela m'effrayait, loin de là, mais cette rencontre me troublait bien plus que ses paroles enjoués. Je fixais lentement cet homme qui jouait lentement du piano, un air qui m'était bien trop familier, comme je le disais, c'était troublant. Je pense que cela ne doit pas vous dérangez, ai-je tord ? Un long regard se fit, nos yeux s'entrechoqua, une réaction éclaire, une envie de jeu, c'était trop beau pour être vrai. J'avais enfin cet inconnu devant moi. Un mystère au complet qui n'attendait plus qu'être découvert. Et j'allais y remédier rapidement. Pas le moins du monde.

S'en est suivie l'un dès plus grands de ma vie. Jusqu'à que mon père interviennent. En trois quart d'heures j'avais eu le temps d'écouter dix millions de mélodies, une fautes de reprises, deux grands yeux, une bouche elle aussi lascives. Il était fascinant. Et ce n'était pas l'une de ces personnes à être sociable. Il ne devait parler qu'à deux trois personnes de son entourage, être le solitaire de la société, le repoussant. La bête. Mais cet bête, apparemment l'associé de mon père, était l'une des personnes les plus mystérieuse que j'avais pu rencontrer. Et puis nos longs regards, nos sourires. Et puis ma mère est rentrée et a tout de suite compris mon engouement pour cette personne aussi désirable. Je crois qu'elle a été la plus grande déception de ma vie. Cette mère pas fichue de me laisser vivre ma vie tranquille, à toujours assuré mes arrières. Elle a supplié pendant des semaines d'abandonner cet homme, cet homme avait qui je flirtais inlassablement pendant des semaines sans pour autant s'avouer quoi que ce soit. Cet homme arrogant, insolent, insupportable, mais sa présence m'était paisible et réconfortante.

Et puis un jour il est partit, grâce à l'intervention de ma mère. Je crois. Une lettre lui avait été adressé l'appelant ailleurs, il me semble. Nos adieux ont été bref, rapide, bien plus qu'une claque en pleine gueule. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a jamais voulu me joindre de nouveau. Finalement, je n'étais qu'un jouet sans rien d'autre. Poppy vous l'avouera, j'ai pris cette claque en pleine face. C'était dur, le retour à la vie banale. Celle de simple étudiante en médecine. Et mon jeu s'est éteint petit à petit avec lui. Et six mois sont passés. Six mois à fermer sa gueule, six mois à attendre de nouveau un jeu, six mois à vivre lentement, et bien qu'elle était là, ma Poppy, je ne souhaitais qu'une chose, que mon mystérieux homme réapparaissent enfin. En vain.
.