« Pourquoi donc on se casse la tête, pourquoi la vie est si complexe, on a fait quoi pour mériter un tel mal être... »

Jordan Rinck, fils d'un fermier, Boby Rinck, un super cow-boy réputé pour son caractère fort et pointilleux. Il se lève tous les matins en compagnie de son épouse Catherine pour nourrir les chevaux. Un certain 04 avril, la femme de Boby resta au chevet pour la raison que vous connaissez parfaitement : enceinte. Son mari dût prendre les charges de la ferme seule depuis quelques temps. Il coupait tranquillement son bois quand un hurlement se fit entendre, Catherine perdit les eaux. Complètement affolé il conduisit sa femme en tenue de cow-boy, pas lavé, plein de terre et surtout, il gardait sa hache sur lui. La femme respirait à tout rompre quand au mari, il n'avait cessé d'insulter tous les manches avec leurs voitures à deux francs. Lui, il avait un super break rouge, trois fois plus haute que leurs maudites voitures de sport. Boby se dirigea en direction de l'hôpital, personne arrivera. Fort et grand, il souleva sa femme et courut comme un barjo dans l'hôpital. « Ma femme est enceinte, magné vous un peu le train ! ».Tous des incapables pensait-il. Une fois couchée, on s'occupa d'elle convenablement tandis que le mari trépignait d'impatience. Il faisait peur avec sa grosse barbe, son allure de pionnier du Fra West. « Ne vous en faites pas, votre femme va bien », «Elle a intérêt à allez bien ! Sinon je vous coupe en deux avec ma hache ! ». Il avait de l'humour pas vrai ? Un humour un peu noir mais, on faisait avec parce que l'on savait, que c'était un saint homme, très généreux et surtout défenseur des terres de Dallas. Boby est un homme sûr de lui mais, très impulsif quand on parle de famille et de terres. Deux plus tard, en plein après midi. Catherine mit au monde un petit garçon, Jordan. « Pourquoi Jordan ? », « Parce que qu'il deviendra un Geant, comme James Dean ! », « Mais oui, bien-sûr ! Cow-boy il sera, Cow-boy il restera ! ». Malgré leur petite querelle entre riche et fermiers, leur enfin restera toujours Jordan. Boby le fit voler dans les airs, le petit ne manqua pas de lui rendre son estomac. « Eh bien, tu commences bien toi ! Je sens que tu vas être un dur à cuir ! ».

Jordan Rinck, fils d'un fermier qui a maintenant 5 ans. Il aide son père a stocké le bois dans la cheminée, à ranger la paille et à nourrir les chevaux. Il rêve de devenir un Cow-boy comme dans les Western. Il veut devenir aussi fort qu'Eastwood et aussi rapide que Charles Bronson. Il aime l'air de la campagne, il aime la terre. Jordan pourrait rester des heures et des heures dans la nature sans se lasser mais, il doit toujours rentrer à la maison pour dîner. Boby lui cri après parce qu'il rêvasse trop, sa mère voudrait qu'il étudie un peu plus à l'école au lieu de sécher pour allez jouer avec les chevaux d'à côtés. Jordan était souvent vexé et très difficile étant enfant, dur à maîtriser. C'était une sorte de petit « bad boy ». Un révolutionnaire qui malgré tout était gentil et rendait souvent service aux fermiers. Souvent seul à l'école, il n'aimait pas la race qui venait y étudier, une grande majorité de nouveau riche qui s'amusait à l'insulter et à le traiter de « petit merdeux, ta famille est aussi sale et dégoutante que toi ! ». Coup-de-poing dans les dents, il n'hésite pas à écraser ses adversaires. Lui à l'âge de 10, il était un voyou, un teigneux qui avait du muscle et du chien pas comme les autres. Ce qui lui fit une certaine popularité auprès des jeunes filles. Plutôt mignon petit garçon, blondinet aux yeux clairs, il ressemblait à un ange plutôt qu'à un démon. On s'attachait vite à lui car, il était aimable avec les gens qui le méritent, surtout les demoiselles. Il devint populaire auprès des petites filles à sa maman. Des mères le traitant de manant et de mal poli. Suite aux compliments de petites filles, il devint très arrogant, le succès monte à la tête pour certains. Comme on lui crachait souvent dessus, devenir quelqu'un de beau et de bien aux yeux de quelqu'un était merveilleux, pourquoi se priver après tout ? Boby n'aimait pas cette attitude semi-bourgeoise, il veilla à ce qu'il ne sorte plus durant un moment de sa chambre, « petit effronté, tu te crois tout permis maintenant ! Demain, tu seras de corvée ! Et si tu es sage, je t'apprendrais à monter à cheval », « C'est vrai ? Tu feras ça pour moi ? ». Voyant que son fils changé, il fallait bien quelque chose pour le faire revenir sur le droit chemin : apprendre le cheval à 11 ans était bien pour lui. Cela change un homme de savoir apprivoiser un animal.

Jordan Rinck, 18 ans. Jeune homme au charme fou, au physique de tombeur et surtout, une allure de cow-boy irréprochable. Les filles tombent comme des mouches devant cet Apollon. T-shirt moulant mettant ses atouts en valeur, des bras musclés sans tatouages, 100% naturel. Des cheveux devenus bruns avec le temps mais, toujours son regarde braise, son regard vert pinçant le coeur de toutes les filles. Sauf que notre bourreau des coeurs n'a qu'une fille en tête, le jeune homme le plus populaire du lycée est tombé sous le charme d'une charmante petite blonde : Elvire. Jordan ne visait pas les gens populaires, au contraire, c'était tous des petits merdeux, riches et tout ce qu'il en suit. Elle, c'était une fille de fermier. Elle respirée le naturel, elle était si jolie. Tout deux étaient dans un lycée où les nouveaux riches du coin s'attardaient, du coup, les filles les plus populaires aimaient être au bras du plus beau cow-boy du coin, histoire de se dire qu'elle fréquente un homme viril. « Non mais, n'importe quoi ces filles, tu ne trouves pas Elvire ? C'est bien ton nom ? ». Acquiesçant, ces deux-là devinrent de bons amis, Jordan n'avait qu'une idée en tête depuis qu'il l'avait vu : être son copain. Elvire était son idéal féminin, belle blonde sage mais, campagnarde. Il rajouta une semaine après leur rencontre « Tu sais, ma question va être un peu directe mais, je voudrais devenir ton petit ami c'est possible ? ». Main derrière la tête, gêné comme jamais, il ne savait pas où se mettre. De plus, il n'était pas le seul en concurrence, d'autres hommes venaient la voir pour lui faire des avances. Grand possessif, il n'aime pas que l'on touche à ce qu'il convoite. Il n'hésite pas à la prendre par le bras ou encore, la prendre par les hanches en lançant un regard froid à ses rivaux. « Comment vas-tu ma chérie ? J'espère qu'ils ne t'importunent pas de trop ? ». Joueur et taquin, il aime beaucoup faire tourner en bourrique Elvire, de plus, il n'hésite pas à faire son romantique en lui donnant des fleurs et l'invitant à manger. Puis, un mois après, il y eut enfin le baisé. Que dire de plus à part le mot : splendide. Un baisé sucré et doux à souhait. « Merci pour ce cadeau, je t'en suis très reconnaissant, depuis le temps que je l'attendais... », il n'hésita pas à la soulever par les hanches pour l'avoir pour lui. « Je ne te lâcherais pas de si tôt ». La fin de l'année approchait à grand pas, bientôt la fin des études pour Jordan et un nouvel avenir s'offrait à lui, il se voyait déjà en compagnie d'Elvire avec des enfants. Mais, pas avant quelques années au moins. Cela faisait quelques mois qu'il y pensait mais, il n'osait absolument pas aborder le sujet. « Tu sais, ce n'est pas que je n'aime pas notre relation, au contraire j'en suis heureux mais, nous avons...jamais encore rien fait de plus... », il se rapprocha doucement de son visage, regard face à face et lui chuchota un mot à l'oreille. Je vous pris de m'excuser mais, cela ne vous regarde pas ! Ce que je peux préciser en revanche, c'est qu'ils partirent en direction de la chambre. « Ne t'inquiète pas, je suis là. Je t'aime tu sais. ». La première fois pour une jeune fille est importante et ça, Jordan le savait. Il l'aimait si fort qu'il ne lui aurait jamais fait de mal, il y a été doucement. Le lendemain, les deux jeunes étaient l'uns contre l'autre, heureux d'être ensemble. Insouciant.
Quelques semaines plus tard : Elvire était enceinte. Jordan ne savait comment prendre cela. Il parti rejoindre sa mère. « Maman, Elvire est enceinte de moi, je dois faire quoi ? », « mais c'est merveilleux mon fils, même si tu es un peu jeune pour être papa », «Je ne peux pas l'être maintenant ! J'ai beaucoup de choses à faire avant ! ». Il rejoignit Elvire, il resta de marbre devant elle, ne lâchant aucun mot et regardant ailleurs. « Je ne veux pas avorter, je veux garder cet enfant, notre enfant Jordan... ». Pas de mots, pas un souffle, il l'embrassa une dernière fois, avant de prendre une décision douloureuse : partir loin de Dallas. Deux jours plus tard, Elvire reçue une lettre, c'était Jordan.

« Chère Elvire,

Je suis si confus de t'avoir laissée toute seule avec notre enfant mais, je veux que tu sache une chose. Je ne veux pas être père maintenant, je ne peux entretenir une telle responsabilité à mon âge et toi aussi, tu devrais plutôt penser à ton avenir. S'occuper d'un enfant est important, ne prend pas ça à la légère. Je t'aime, je t'aimerais toujours mais, je suis parti de Dallas hier et n'y reviendrais plus. En tout cas, pas avant un bon moment. Je dois accomplir ma vie, la réussir. Je te rejoindrais un jour, le jour où je comprendrais qu'il est temps d'avoir une femme et des enfants mais, pas à 19 ans.

Je t'aime, au revoir.

Jordan »

Jordan Rinck, parti à 19 ans laissant derrière lui sa perle Elvire. Il prévenu sa famille de ce qu'il fit et de ce qu'il comptait faire. Devenir un grand fermier et faire devenir célèbre sa famille. En un temps record de quelque mois, il réussit à avoir la tête d'une coquette entreprise pétrolière : la Rinck Entreprise. Comment ? Il avait réussi à avoir un bout de terre pour lui seul, microscopique mais, il en avait un. Par la suite, il embaucha du personnel, ils creusèrent jusqu'à trouver : un puits de pétrole. Fier de ce qu'il avait entreprit, à 25 ans, il avait fait un petit empire. Ses parents étaient heureux de l'entendre mais, aurait aimé le revoir. Jordan eu la plus belle idée de sa vie, maintenant patron, il avait du temps devant lui. Il décida de faire installer un morceau de propriété à Dallas. Mais, cela devait être une ferme et pas une industrie. Juste un petit ranch de chevaux pour ce faire plaisir, après tout : il était riche. « Mon fils ! Espèce d'imbécile pourquoi tu es parti comme ça ! », «Je te jure papa ! J'ai rien fais ! Pose cette hache tout de suite ! », « Imbécile va ! ». Sa mère éclatée de joie, elle souriait, elle avait le plus beau des sourire. « Je suis rentré maman, tu m'as manqué tu sais », « Ne t'en fais pas, moi aussi tu m'as manqué, ton père ne le dit pas mais, lui aussi ! », «J'espère bien ! Haha ! ». Jordan décida donc de revenir à Dallas, un petit retour dans le passé. La campagne, les champs et les chevaux lui manquait beaucoup. En revenant dans sa chambre, il ressortit une photo de son bureau. Couverte d'un peu de poussière, il souffla : Elvire. Il pense encore à elle après tout ce temps. « J'espère que tu ne m'as pas oublié, moi non en tout cas... »

Can you meet me halfway ?
*******************************

1/ COMMENT QUALIFIEREZ-VOUS LA RIVALITÉ QUI S'OPÈRE A DALLAS ?

Riche, il reste un fervent Cow-boy. Il ne peut revenir dans le passé, un passé qu'il n'oubliera jamais. Il n'était pas riche mais, il n'était pas pauvre non plus. Depuis son retour au sein de Dallas, il ne peut qu'éprouver de la haine pour ceux qui désirent détruire et construire par-dessus leurs vestiges, leur ranch, leur exploitation, leur passé. C'est inexcusable. Jordan est revenu plus fort que jamais, plus combatif et surtout, plus riche. Effectivement, devenu un homme ayant des revenus colossaux, le grand Jordan risque fort de donner du fil à retordre à ses rivaux. Il reste un homme de la terre, un homme fidèle à ses convictions. Il ne reculera devant rien pour les faire fuir. Malgré son statut de nouveau riche, les fermiers et autres agriculteurs le considèrent comme étant l'un des leurs. Pas un vulgaire avorton de la richesse. Il n'est nullement désabusé par l'argent. Même s'il en est fier. Le fait de voir ses proches souffrir à cause d'étrangers l'énerve au plus haut point. Au lieu de se battre, ils feraient mieux de parler correctement, établir des parties de terre pour chacun. Une entente impossible. Sans le moindre scrupule, beaucoup de fermiers sont bannis de leur terre. Les chevaux ne courent plus en toute liberté, on préfère les abatte. Vous verriez son visage, le visage de Jordan, il est en colère et va frapper fort. Oui, très fort... Un Wild People n'est jamais vaincu facilement, la nature vaincra la technologie...

2/ DÉCRIVEZ-NOUS VOTRE AVENIR,COMMENT LE VERREZ-VOUS ?

Baignant dans le luxe et la volupté, accompagné d’une merveilleuse femme et en dehors de tout ce tintamarre, un ranch rien que pour lui, avec toutes les races de chevaux possibles. Les enfants deviendront de merveilleux Cow-Boy, ils s’occuperont de tout, de l’eau et du foin jusqu’à ce qu’ils se frayent un chemin vers la riche comme leur père. Peut-être un avenir légèrement utopique mais, au point où on en est. Il est fort probable qu’il devienne réalité ! A cinquante ans, on aura le droit d’avoir peut-être un mariage, voir même quelques petits enfants. On les appellera Jim ou encore James. Imaginer, une grande maison avec un vaste jardin, des fleurs à perte de vue, un petit ruisseau et encore des toujours : des animaux. Diantre, qu’ils sont beaux ces rêves. On ne pourrait rêver mieux. Si l’on devient pessimiste, nous finirons tous au fond d’un caniveau dévorer par les crocodiles…Non, voyons ! C’est impossible. Riche et en bonne santé avec la famille ! Voilà le vrai luxe !

3/ QUEL SERA L'AVENIR DE DALLAS SELON VOUS ?

Difficile à prévoir, il est déjà tellement perturbé par les grandes entreprises. Comment dire, la quasi-totalité des fermes ont disparu, tout est recouvert de béton regorgeant de produits toxiques. Plus rien ne poussera, le désert est devenu un milieu oisif baignant dans la technologie, la richesse et l'individualisme. D'antan tout le monde se serrer les coudes pour survivre, maintenant, tout le monde s'en fiche pas mal de l'avenir de son voisin. Sa santé ? Vivement qu'il meure comme on héritera de son terrain. Nous, on a gardé notre comportement d'avant, au fond, j'ai toujours été un fermier, un amoureux de la nature et de la terre. Les plantes et l'agriculture restent mon dada. J'emploie le « je », n'est-ce pas une preuve que nous perdons vraiment nos marques ? Tous les vieux souffrent, les jeunes s'en tapent, ils veulent les voir croupirent au fond d'un trou. Tout ce qui leur importe : c'est leur petite personne. Satanés bourgeois, Dallas est déjà sous les décombres. Mais, une partie reste tout même terreuse et j'ai le privilège d'y vivre encore ! En espérant que personne ne décide de m'y faire partir !

© Mymiiex pseudo; Alex'âge 20 ans; personnage inventé ou scénario ?; Scénario votre niveau en rp (/20); 15/20...J'en sais rien =Xcomment as-tu connu DLAFS ?; Top-Site :p . comment le trouves-tu ?; Il m'a tapé dans l'oeil ! Un header très mignon tout plein ! Un Luke qui attire les regards ! Puis, des petits scénarios, un qui me plaisait car c'était Jensen mais, surtout que son personnage me rappel un film...Un vieux film